Le philosophe était au Portugal au moment de la révolution des Œillets. Il témoigne.
Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
Raymond Aron a lu « L’Idéologie française », et attaque le livre de BHL qui fait le procès du pétainisme et de la Révolution nationale.
En 1971, BHL vient d’effectuer un voyage au Proche-Orient. Il livre ici ses réflexions sur le conflit entre nationalismes juifs et palestiniens.
Un néofasciste nommé Jörg Haider devient un élément incontournable du paysage politique autrichien. BHL est parti enquêter à Vienne.
BHL signe un livre nécessaire et grave sur l’assassinat de Daniel Pearl, où le romancier prend parfois le relai de l’enquêteur.
L’exploration de son deuxième roman, « Les Derniers jours de Charles Baudelaire », permet de redécouvrir Bernard-Henri Lévy.
BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
L’obsession identitaire : voilà l’ennemie. BHL s’obstine à ferrailler avec rage contre le vertige régressif de « ceux qui sont nés quelque part ».
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