Bernard-Henri Lévy était aux côtés des combattants kurdes face à l'État islamique. Pour lui, les égorgeurs seront vaincus. Parce que ce sont des lâches.
... Mais aussi Nunez et saint Ambroise. Le théâtre de Barbier. L'islamophobie selon Bruckner. Et les sondages, dans tout ça ? Lacan et djihadistes.
BHL décrit François Hollande comme un chef de guerre pleinement concerné par la situation des peshmergas et par le combat qu'ils mènent face à Daesh.
Bernard-Henri Lévy revient sur le discours de Mohammed VI, commandeur des croyants, qui a, le 21 août, fustigé le djihadisme et condamné l'État islamique.
De juillet à décembre 2015, avec une équipe de cinéma, Bernard-Henri Lévy a remonté les 1000 kilomètres de la ligne de front qui sépare le Kurdistan irakien des troupes de Daech. De ce voyage est issu un journal de bord en images. Ce film a fait partie de la Sélection officielle du Festival de Cannes 2016.
Dans une campagne dominée par les affaires et les punchlines, vidée de son contenu, les grimaces de la vertu remplacent la grandeur de la « virtù ».
La guerre qui nous frappe se gagnera en Irak et en Syrie. Encore faut-il que la première puissance mondiale prenne conscience de l'enjeu.
Pour Bernard-Henri Lévy, "il n'y a pas de meilleur choix que d'aider les Kurdes à nous aider à vaincre la barbarie sans pareille des coupeurs de tête de l'EI".
Les événements de ce début d'année en Arabie saoudite sont particulièrement préoccupants, mais la communauté internationale ne réagit pas.
Face à la persécution des chrétiens d'Orient, l'Occident donne de la voix. Mais l'effort doit aussi venir du monde arabo-musulman lui-même.
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