À l’occasion des 70 ans de l’État hébreu, le philosophe ne cache pas son admiration pour ce qu’il appelle le « miracle israélien ».
Le philosophe dresse le bilan de sept années de guerre qui ont fait des Syriens les martyrs de Bachar el-Assad, sur fond d’impuissance coupable.
D’un côté, le cynisme du Turc Erdogan. De l’autre, les lâchetés, le silence de l’Occident. Pris dans cet étau, les Kurdes vainqueurs de Daech.
La démocratie compose avec le moindre mal dans l’espoir de conjurer le pire. Et le moindre mal aujourd’hui, c’est Macron ou Fillon.
Pourquoi, alors qu’il espérait lui aussi la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, l’écrivain n’arrive pas à se réjouir et s’inquiète.
Alors que Jean-Luc Mélenchon fait des amalgames historiques douteux et dangereux, les Kurdes se rendent aux urnes pour obtenir leur indépendance.
Dans les deux villes, un même modus operandi : une voiture-bélier lancée sur une foule. Mais c’est le seul point commun entre ces deux événements.
Retour sur l’histoire invraisemblable dans laquelle Jack Jacob, un juif de Calcutta, permit d’épargner des centaines de milliers de vies.
Fort de sa large victoire, le président de la République aura pour tâche de « créer, penser et inventer à neuf le régime historique où nous entrons ».
Est-ce par tactique ou par conviction qu’il choisit de gouverner au centre ? Que devient la nation ? Est-il, en histoire, plutôt Machiavel ou plutôt Hegel ?
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