Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Un bloc-notes en forme de « name dropping » : Machiavel, Blanquer, Hölderlin, Malthus, Kaplan, Gibbon, Ovide, Hemingway, Milton, Godard, Valls, RBG, Rimbaud.
Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Pour l’auteur de « Qui a tué Daniel Pearl ? », la libération d’Omar Sheikh, cerveau présumé de l’assassinat du journaliste en 2002, est une ignominie.
Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
À l’initiative du philosophe, une allée du Commandant-Massoud, combattant afghan assassiné le 9 septembre 2001, a été inaugurée près des Champs-Élysées.
Alors que les obus s’abattent sur Israël, il y a une ou deux questions qui fâchent à se poser sur le Hamas. Et quelques vérités à rappeler.
Vingt ans après ses propositions sur la reconstruction de l’Afghanistan, libéré des talibans, le philosophe dit son profond accablement.
Avec le désastre afghan, c’est l’image même des démocraties libérales qui, à travers la plus grande d’entre elles, semble partout ternie.
Comment de courageux vétérans de l’armée américaine ont exfiltré de Kaboul leurs compagnons d’armes afghans, au nez et à la barbe des talibans.
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