Le philosophe présente son film pour l’Ukraine à l’ONU ; rend hommage à Masih Alinejad ; appelle à la vigilance contre l’antisémitisme.
Quels sont les ressorts philosophiques du témoignage ? Témoigner, dans le cas de BHL, est-il un devoir ? une responsabilité ? une vocation ?
Selon BHL et André Glucksmann, Angela Merkel et Nicolas Sarkozy ne doivent pas fermer la porte de l'OTAN aux nouvelles démocraties.
Lire la tribune de Bernard-Henri Lévy, Natan Sharansky et Elisha Wiesel pour les Ouïghours parue dans le New York Times.
Lors de l’ouverture du dîner annuel du CCAF (Conseil de coordination des organisations arméniennes de France), dans les Salons Hoche à Paris, BHL insiste sur l’importance et les enjeux de la mémoire du génocide arménien dans l’Europe contemporaine.
À l’invitation du Conseil national des Conseils de coordination des organisations Arméniennes de France (CCAF), au Palais de la Mutualité, BHL prononce un discours qui vise à empêcher la négation du génocide arménien.
À Genève, sur la place des Nations, à l’occasion de Yom Hashoah – cette journée de la mémoire de l’extermination du peuple juif par les nazis –, BHL a prononcé ce discours où il explique pourquoi il faut commémorer les morts de la Shoah.
Lors de sa « Grande Conférence » pour l’Institut d’études lévinassiennes, prononcée le 9 avril 2008, à la Cité des Récollets, à Paris, Bernard-Henri Lévy répond aux mots de Benny Lévy : « il y a un avenir même pour le Mal ».
L’allocution de Bernard-Henri Lévy prononcée à Jérusalem, 14 mai 2008, en ouverture de la première « President’s Conference », organisée par le président Shimon Pérès et coïncidant avec le 60e anniversaire de la naissance de l’État d’Israël.
L’auteur de “Pièces d’Identité” s’exprimait sur les grands sujets d’actualité, tels que : – Le voyage de Nicolas Sarkozy à Haiti....
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