Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
À Venise pour la projection du film « Princesse Europe », le philosophe n’en oublie pas l’empoisonnement du Russe Navalny ni la situation en Biélorussie.
Le philosophe, qui est allé plusieurs fois dans le camp de réfugiés de Moria, tire les leçons, pour l'honneur de l'Europe, de cette catastrophe annoncée.
Dans le conflit actuel du Haut-Karabakh, se ranger aux côtés de l’Arménie est, pour le philosophe, un impératif métaphysique, moral et politique.
Oui au soutien à Emmanuel Macron lorsqu'il tient tête à un Erdogan qui attise le terrorisme islamiste. Et non à une justice d'exception dans notre pays.
Face aux délires impérialistes des pyromanes Poutine et Erdogan, notre pays doit trouver le courage de soutenir une minorité attaquée.
Notre chroniqueur-philosophe revient sur l’année 2020, qui a vu fleurir entre autres les mots « confinement » et « gestes barrières », et souhaite qu’en 2021 s’ouvre le chemin des possibles.
Pour contrer ceux qui, à l’instar des émeutiers de Washington, veulent humilier la démocratie, il faut défendre fermement les institutions américaines.
Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
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