Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
La Chine est à l’offensive. Mais, explique l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », sa volonté impériale n’a pas (encore) de légitimité à l’universel.
Le confinement nous aurait-il anesthésiés au point d'ignorer la mort d'un médecin sur la ligne de front, en violation des lois de la guerre ?
Neuf ans après la chute de Kadhafi, notre éditorialiste est retourné en Libye pour témoigner, guidé par sa seule conscience.
Pourquoi l'accord « prosaïque » entre Abou Dhabi et Jérusalem est symboliquement aussi important que le traité de paix entre l'Égypte et Israël en 1979.
À Venise pour la projection du film « Princesse Europe », le philosophe n’en oublie pas l’empoisonnement du Russe Navalny ni la situation en Biélorussie.
Le philosophe, qui est allé plusieurs fois dans le camp de réfugiés de Moria, tire les leçons, pour l'honneur de l'Europe, de cette catastrophe annoncée.
Un bloc-notes en forme de « name dropping » : Machiavel, Blanquer, Hölderlin, Malthus, Kaplan, Gibbon, Ovide, Hemingway, Milton, Godard, Valls, RBG, Rimbaud.
Le philosophe convoque Althusser, Heidegger, Platon, Foucault, Goethe et Martin Buber pour lire l'actualité, rendant hommage au passage à ses prédécesseurs.
Pour contenir la menace d’Erdogan, il faut, pour l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », agir sur trois leviers : l’Otan, le Qatar et l’Union européenne.
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