Cette solitude des Juifs, cette solitude d'Israël dont BHL fait état dans son nouveau livre, c'est notre solitude à tous.
Dans son nouvel essai, le philosophe fait l’anatomie de la tragédie du 7 octobre. Plus qu’un nouvel épisode sanglant du conflit israélo-arabe, il y voit un pogrom sans précédent depuis la Shoah.
L’écrivain laisse au vestiaire les grands mots lyrico-sévères pour livrer une foudroyante radioscopie du 7 octobre. Et revenir à l’essence de l’âme juive.
Dans son dernier livre Bernard-Henri Lévy comprend que le 7 octobre est le nom d’un événement absolument irréductible.
Pour le philosophe, il n’y a pas d’autre solution, pour rétablir la paix à Gaza, que la libération de tous les otages et la reddition du Hamas.
Le rôle des clercs dans la cité ? Lévy, d’une écriture merveilleusement maîtrisée, fournit quelques réponses, proposes des idées.
Au valeureux président américain, celui qui a soutenu l’Ukraine et Israël, aujourd’hui en proie à des défaillances de santé, le philosophe demande de « passer le relais ».
En 1971, BHL vient d’effectuer un voyage au Proche-Orient. Il livre ici ses réflexions sur le conflit entre nationalismes juifs et palestiniens.
Un livre d’Alexis Lacroix sur Raymond Aron permet à l’auteur de « L’Idéologie française » de brosser le portrait du grand penseur français du libéralisme politique.
C’est un événement. Mardi 30 janvier, les neuf heures du chef-d’œuvre de Claude Lanzmann ont été diffusées in extenso sur France 2. Un bel exemple de pédagogie télévisuelle.
Réseaux sociaux officiels