Pour l’auteur de « Qui a tué Daniel Pearl ? », la libération d’Omar Sheikh, cerveau présumé de l’assassinat du journaliste en 2002, est une ignominie.
Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
Le retrait des troupes américaines d’Afghanistan signifie, pour le philosophe, le retour tragique d’Al-Qaïda, de Daech et des talibans.
Vingt ans après ses propositions sur la reconstruction de l’Afghanistan, libéré des talibans, le philosophe dit son profond accablement.
Après l’abandon du peuple afghan par les États-Unis, le seul espoir qui demeure a pour nom Ahmad Massoud, fils du commandant Massoud.
Avec le désastre afghan, c’est l’image même des démocraties libérales qui, à travers la plus grande d’entre elles, semble partout ternie.
Comment de courageux vétérans de l’armée américaine ont exfiltré de Kaboul leurs compagnons d’armes afghans, au nez et à la barbe des talibans.
Alors que les talibans ont annoncé la prise de la vallée du Panjshir, le philosophe salue une nouvelle fois son ami le résistant Ahmad Massoud.
Apolline de Malherbe reçoit Bernard-Henri Lévy dans “Le Rendez-vous” sur BFMTV pour la sortie de son livre “Sur la route...
Bernard-Henri Lévy était l’invité de Votre instant politique sur France Info le 20 janvier 2021 pour parler de l’investiture du...
Réseaux sociaux officiels