Après le terrible spectacle de Durban I, Durban II, qui doit évaluer les « progrès » en matière de lutte contre le racisme, laisse présager le pire.
BHL a lu le dernier livre d’Adam Gopnik, le plus francophile, pour ne pas dire le plus français, des écrivains nord-américains.
Pour BHL il faut, quoi qu’il en coûte, à propos de « l’Affaire Battisti », rappeler, une fois encore, un certain nombre de principes.
« Walkyrie », avec Tom Cruise, pose un certain nombre de questions complexes, délicates, insolubles dans la seule logique hollywoodienne.
L’élection de Barack Obama, qui signe la fin de la politique conçue comme région de la pigmentologie, est une chance pour le monde.
BHL a observé les images des manifestations européennes de soutien à la « cause palestinienne ». Il en tire quelques remarques.
Le philosophe continue de penser que la suppression de la publicité, sans augmentation de la redevance, était une erreur.
Après le drame de Bombay, il faut briser l’armée du crime pakistanaise, et les liens qui la rattachent à la face sombre de son administration.
Les négationnistes, d’habitude, sont des hurluberlus. Là, ils s’adossent à un pays – la Turquie. Il s’agit d’un négationnisme, non de secte, mais d’État.
« Reviens, Voltaire, ils sont devenus fous » (Grasset) est un livre dense, grave, qui traite des questions les plus essentielles de notre temps.
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