Le philosophe salue la dignité de ces combattants de fortune qui, à Syrte, comme au premier jour, font la guerre sans l’aimer.
La primaire ouverte de la gauche est une révolution institutionnelle, une invention démocratique, un beau moment républicain.
La crise de l’Europe est-elle la cause ou la conséquence de la crise financière actuelle ?
Dix ans après, où en sommes-nous ? La partie est-elle finie ? A-t-elle changée de nature ? Avons-nous le courage et les moyens de poursuivre le combat ?
Il faut sauver le soldat Shalit. Pierre-Olivier Sur et la nouvelle « bande des quatre ». Connaissez-vous Owni ?
Comment tant d’esprits raisonnables peuvent-ils accueillir comme une bonne nouvelle cette réconciliation Fatah/Hamas ?
On entend dire, ici ou là, qu’Israël serait « inquiet » du vent de démocratie qui souffle sur le monde arabe.
Cette guerre est-elle juste ? Pourquoi la Libye ? Que savez-vous de vos insurgés et d’où tenez-vous que cette insurrection mènera à une Libye nouvelle ?
Il n’y a rien à attendre, à Tripoli, des Nations unies. Pas grand-chose de l’Europe et des États-Unis. Mais tout du nouveau monde arabe.
Chute de Ben Ali : il n’y a pas un État qui fasse le poids face à un peuple qui décide que c’en est assez de la tyrannie.
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