Parrain, jadis, de SOS Racisme, le philosophe adresse une mise en garde en cinq points à ceux qui aujourd'hui demandent justice pour Floyd ou Traoré.
Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Des nouvelles de Tocqueville ? Il faut écouter Mathieu Laine. Navalny et les tarentules. Une grande dame nommée Marielle de Sarnez. Minuit à Kaboul.
Pour l’auteur de « Qui a tué Daniel Pearl ? », la libération d’Omar Sheikh, cerveau présumé de l’assassinat du journaliste en 2002, est une ignominie.
Quand la ville de Paris honore le commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001, en baptisant une allée à son nom, le philosophe se souvient de son ami.
Le retrait des troupes américaines d’Afghanistan signifie, pour le philosophe, le retour tragique d’Al-Qaïda, de Daech et des talibans.
Vingt ans après ses propositions sur la reconstruction de l’Afghanistan, libéré des talibans, le philosophe dit son profond accablement.
Après l’abandon du peuple afghan par les États-Unis, le seul espoir qui demeure a pour nom Ahmad Massoud, fils du commandant Massoud.
Avec le désastre afghan, c’est l’image même des démocraties libérales qui, à travers la plus grande d’entre elles, semble partout ternie.
Comment de courageux vétérans de l’armée américaine ont exfiltré de Kaboul leurs compagnons d’armes afghans, au nez et à la barbe des talibans.
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