« Slava Ukraini », de Bernard-Henri Lévy, sortira en salles le 22 février. Christine Angot l’a vu en avant-première, et livre au « JDD » ses impressions.
« “Hôtel Europe” est un texte sombre. Il est sombre comme ma pauvre petite Bosnie qui survit, vaille que vaille ».
Il serait logique, pour Barack Obama, d’aller au bout de l’exercice de sagesse qu’il s’est imposé et qu’il a imposé à son homologue français : aller à Saint-Pétersbourg, oui ; mais en bouleversant l’agenda de la réunion.
Le philosophe relance le genre délaissé du théâtre d’idée, pour interroger et bousculer la notion d’identité nationale. Vifs débats en vue.
Dans son nouveau livre, « La Guerre sans l’aimer », Bernard-Henri Lévy décrit la face cachée de la révolution libyenne, dont il fut un acteur clé. Philippe Tesson, qui le connaît bien et de longue date, salue les engagements de cet intellectuel épris d’action.
Comment la population et les dirigeants de l’Etat juif ressentent-ils les événements ? Récit de quelques jours de vie sous les obus.
La diabolisation d’Israël n’aura-t-elle donc jamais de fin ? Trois événements récents, trois signes, obligent à se poser, à nouveau, la question.
Une interview iconoclaste de Bernard-Henri Lévy. L’intellectuel « vedette » de gauche rompt avec le pouvoir en affirmant : la folie du PS est de vouloir suivre un PC en perdition.
Le philosophe salue la dignité de ces combattants de fortune qui, à Syrte, comme au premier jour, font la guerre sans l’aimer.
Il n’y a rien à attendre, à Tripoli, des Nations unies. Pas grand-chose de l’Europe et des États-Unis. Mais tout du nouveau monde arabe.
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