Le philosophe, qui a connu Romain Gary, s’enchante d’une nouvelle biographie (Gallimard), celle que Kerwin Spire consacre à l’écrivain.
Vingt ans après ses propositions sur la reconstruction de l’Afghanistan, libéré des talibans, le philosophe dit son profond accablement.
Entre la fanfare rouge-brune qui voit le virus comme un promoteur de ses névroses et les tenants d’une réglementation liberticide, il reste peu de place au langage de la raison.
Vingt ans après la conférence de Durban, le philosophe souligne pourquoi sa commémoration serait une infamie. Et appelle à son boycott.
Après l’abandon du peuple afghan par les États-Unis, le seul espoir qui demeure a pour nom Ahmad Massoud, fils du commandant Massoud.
Avec le désastre afghan, c’est l’image même des démocraties libérales qui, à travers la plus grande d’entre elles, semble partout ternie.
Alors que les talibans ont annoncé la prise de la vallée du Panjshir, le philosophe salue une nouvelle fois son ami le résistant Ahmad Massoud.
Après la réapparition de 6 000 pages inédites de Céline, le philosophe interroge la postérité aléatoire des œuvres sous l’angle des ayants droit.
Webinar: Past as Prologue, revisiting Bernard-Henri Lévy’s 2002 Report on Afghanistan July 26, 2021 (10:00 am – 11:00 am) In...
Bernard-Henri Lévy venait de publier « La Barbarie à visage humain » lorsque, invité de l’émission « L’homme en question » animée par Anne...
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