Voyeurisme, délitement des élus et des candidats, nivellement par le bas, fureur qui gronde... Jamais nous n'avons été si proches de notre « funeste destin ».
Ce qui frappe, c'est la bonne marche de la stratégie orchestrée par Washington et Paris. Loin de la politique de nettoyage des aviations syrienne et russe.
Le philosophe, qui poursuit sa campagne européenne avec sa pièce « Looking for Europe », a rencontré à Prague le Premier ministre tchèque, Andrej Babis.
Le philoposphe se souvient de celui qui fut son directeur de mémoire redouté à Normale sup. Loin, très loin de l'humaniste espiègle célébré aujourd'hui.
Face à un monde qui semble dire adieu à la démocratie, le philosophe propose une grande alliance de la raison grecque et du sensé biblique.
Le philosophe le promet : s'il improvisera sur cette question le 6 janvier, lors du séminaire de « La Règle du jeu », il ne manquera pas d'y répondre…
Le philosophe s'insurge contre tous les « profiteurs » politiques et religieux du virus et refuse de céder à leur prêchi-prêcha moralisateur.
Le philosophe, auteur de « Ce virus qui rend fou », fait l’éloge de la singularité du chercheur, médecin et humaniste marseillais au temps du coronavirus.
L’auteur de « Ce virus qui rend fou » rappelle ses trois vérités sur le Covid – concernant la psychose, le pouvoir médical et la doctrine hygiéniste.
Le philosophe, qui s’insurge contre les « naufrageurs de la culture », énonce en cinq points pourquoi la culture ne saurait être une variable d’ajustement.
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