Gabi Gleichmann revient sur ce qu’implique une fatwa pour celui qui en est la victime et, à travers le cas précis de Salman Rushdie dont il fut un soutien, et raconte le combat de Bernard-Henri Lévy contre cette barbarie fascislamiste.
Allocution prononcée à Kiev, à l’occasion de la remise à Viktor Pinchuk, cet « Européen convaincu et conséquent », de la Metropolitan Andrey Sheptytsky Medal of Honor Award.
À l’invitation du Conseil national des Conseils de coordination des organisations Arméniennes de France (CCAF), au Palais de la Mutualité, BHL prononce un discours qui vise à empêcher la négation du génocide arménien.
Lors de sa « Grande Conférence » pour l’Institut d’études lévinassiennes, prononcée le 9 avril 2008, à la Cité des Récollets, à Paris, Bernard-Henri Lévy répond aux mots de Benny Lévy : « il y a un avenir même pour le Mal ».
En octobre 1992, BHL rencontre pour la première fois l'écrivain Salman Rushdie, visée par une fatwa lancée par l'ayatollah Khomeini en 1989. La rencontre est organisée par Gabi Gleichmann à Helsinki ; ce dernier écrit à propos de cette entrevue : « Je pense que je n’exagère pas en affirmant que la rencontre entre Lévy et Rushdie à Helsinki constitua un tournant dans l’affaire Rushdie. »
Après la publication de son deuxième roman, BHL soutient Salman Rushdie et crée sa revue, « La Règle du jeu ».
Malgré les récents signes de bienveillance envers Israël de Donald Trump, ne doutons pas qu'il ne tardera pas à « se venger » et à trahir le peuple juif.
La revue « La Règle du jeu » fête ses 30 ans ; se souvenir d’une rafle de 1941 ; Éloge de Chems-Eddine Hafiz, recteur de la Grande Mosquée de Paris.
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