M. Ahmadinejad est un homme dangereux. Et son élection à la présidence de la République islamique d’Iran est un événement catastrophique.
Après l’accession au pouvoir du président non élu Ahmadinejad, qui ne sera qu’un chef au rabais, illégitime, affaibli, la terre tremble à Téhéran.
Le philosophe donne des nouvelles de Sakineh, placée au secret, sans lien avec le monde extérieur, mais toujours menacée de lapidation.
C’est il y a un an que Mahmoud Ahmadinejad a volé leur vote aux Iraniens. L’Iran, plus que jamais, est à la croisée de ses destins.
Les dictateurs Abadi, Erdogan, el-Assad et Khamenei, menacent les Kurdes de représailles pour essayer de faire taire leur volonté d’indépendance.
Ayant contribué à la rencontre entre Emmanuel Macron et Masih Alinejad, le philosophe se réjouit de l’emploi du mot révolution par le président.
Le philosophe présente son film pour l’Ukraine à l’ONU ; rend hommage à Masih Alinejad ; appelle à la vigilance contre l’antisémitisme.
Le philosophe rend hommage au courage des femmes iraniennes et appelle le monde libre à se montrer à la hauteur de ce soulèvement émancipateur.
Il faut lire « Les quinze jours qui ont fait basculer Kaboul », de David Martinon. Le récit poignant d’un diplomate face à la guerre.
Dans un texte écrit en 2014, Armin Arefi revient sur les différents combats qui ont mobilisé Bernard-Henri Lévy en 2009 et 2010 pour défendre la démocratie iranienne. Le philosophe a en effet dénoncé la prise de pouvoir d’Ahmadinejad, avant de s’investir, avec La Règle du Jeu, pour sauver le cinéaste Jafar Panahi, puis Sakineh, victimes du régime islamiste de Téhéran.
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