Au Soudan se déroule la plus longue guerre du monde : vingt ans et deux millions de morts, quatre millions et demi de déplacés. Bernard-Henri Lévy témoigne.
Portrait d'un commandant de légende, en guerre depuis presque vingt ans contre les Soviétiques autrefois, maintenant contre les talibans : Massoud.
Dans ce discours prononcé le 11 avril 2013 lors de l'attribution à Jean d'Ormesson du Prix Scopus de l’Université hébraïque de Jérusalem, Bernard-Henri Lévy rend hommage au grand écrivain français, à son amour du peuple juif et à son combat contre l'antisémitisme, mais aussi à ses doubles en littérature : Chateaubriand et Marcel Proust.
Crise des migrants, conflits mondiaux, radicalisation populiste, haine des élites, rejet du capitalisme : dans un entretien aux « Echos », Bernard-Henri Lévy prend position sur les crises du moment. Sans langue de bois.
Quel lecteur d’Albert Cohen a été Bernard-Henri Lévy ? Comment a-t-il influencé son rapport au judaïsme ? Récit d'une étonnante amitié.
Bernard-Henri Lévy était aux côtés des combattants kurdes face à l'État islamique. Pour lui, les égorgeurs seront vaincus. Parce que ce sont des lâches.
L'Ukraine russophone est bien plus ukrainienne que ne veulent le croire ceux qui cherchent toutes les bonnes ou mauvaises raisons de céder au poutinisme.
Pour que le Burundi ne soit pas un autre Rwanda, le philosophe et éditorialiste du « Point » prend la plume.
Liu Xia, Salih Muslim, Ramin Hossein Panahi, Raïf Badawi, Alexeï Navalny : cinq dissidents dont il faut dire les noms pour empêcher l'oubli.
À propos des Rohingyas, le philosophe lance un appel désespéré : « Écoutez, je vous en supplie, la dame de Dacca », qui doit s’exprimer jeudi à l’ONU.
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