Qui aura l’audace et l’imagination nécessaires pour mettre l’ONU au diapason d’un monde qui n’est plus celui ni de 1945 ni de la guerre froide.
Galia Ackerman revient sur l'engagement de Bernard-Henri Lévy et André Glucksmann lors de la révolution du Maïdan de 2014 en Ukraine.
Lire la tribune de Bernard-Henri Lévy, Natan Sharansky et Elisha Wiesel pour les Ouïghours parue dans le New York Times.
Dans son discours à l’occasion de l’attribution à Patrick Drahi du prix Scopus de l’Université hébraïque de Jérusalem, BHL revient sur le parcours de cet entrepreneur « ultracitoyen » et évoque le « lien du nom juif et de l’argent ».
L’allocution de Bernard-Henri Lévy prononcée à Jérusalem, 14 mai 2008, en ouverture de la première « President’s Conference », organisée par le président Shimon Pérès et coïncidant avec le 60e anniversaire de la naissance de l’État d’Israël.
Le philosophe salue l’appel du pape à mettre fin au « naufrage de civilisation ». Et en tire trois enseignements sur la « crise des migrants ».
BHL a fondé, en 1979, avec Françoise Giroud et Marek Halter, l’ONG Action contre la faim. Récit de cet engagement fort et concret.
Bernard-Henri Lévy a ouvert, au lendemain des attentats de Paris, le 22 janvier 2015, la séance plénière des Nations Unies à New York consacrée à la montée de l’antisémitisme dans le monde. Le philosophe analyse ici l’antisémitisme moderne, cette « inhumanité radicale », telle qu'elle se manifeste au XXIe siècle.
Le 18 novembre 2007, à Paris, Bernard-Henri Lévy prononce un discours à l’occasion de la remise à Simone Veil du Prix Scopus de l'Université hébraïque de Jérusalem. Il évoque la tragédie de la déportation de Simone Veil, son combat pour le travail de la mémoire, et ce qu’elle porte en elle, par sa vie et ses engagements, d'éminemment européen.
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