Le philosophe le promet : s'il improvisera sur cette question le 6 janvier, lors du séminaire de « La Règle du jeu », il ne manquera pas d'y répondre…
Le Brexit est une défaite pour le Royaume-Uni comme pour l'Union européenne. Mais tout espoir n'est pas perdu de retrouver le vrai goût de l'Europe.
Alors que la haine prend le pas sur la contestation, le philosophe loue l'abnégation de nos dirigeants face à l'adversité.
Le monde a effacé les pandémies destructrices de 1957 et 1968. Faut-il se réjouir ou s’inquiéter de l’État sanitaire que nous construisons aujourd’hui ?
Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
Trois raisons (au moins) qui ont poussé le philosophe à écrire dans l'urgence son pamphlet sur la pandémie de Covid, « Ce virus qui rend fou ».
Parrain, jadis, de SOS Racisme, le philosophe adresse une mise en garde en cinq points à ceux qui aujourd'hui demandent justice pour Floyd ou Traoré.
Le philosophe salue la naissance d’un écrivain qui, à 22 ans, publie son premier roman, « Ciel et terre », « portrait d’un chevalier à la triste figure ».
À Venise pour la projection du film « Princesse Europe », le philosophe n’en oublie pas l’empoisonnement du Russe Navalny ni la situation en Biélorussie.
Le philosophe, qui est allé plusieurs fois dans le camp de réfugiés de Moria, tire les leçons, pour l'honneur de l'Europe, de cette catastrophe annoncée.
Réseaux sociaux officiels