Le philosophe a réécrit sa pièce de théâtre « Hôtel Europe » après le Brexit. Et il la joue lui-même, seul sur la mythique scène du Cadogan Hall, à Londres.
Une semaine dans le monde : minuit moins cinq à Rome, Godard à Cannes, Mallarmé dans un roman, Trump et Tom Wolfe, Malek Boutih chez Ruquier.
Chiffres à l’appui, le philosophe combat l’idée d’une crise migratoire en Europe. La vraie crise, c’est celle de l’islam et de la résurgence des populismes.
Selon l'éditorialiste, le parti Poutine : c'est celui que l'on hésite à dire suicidaire, masochiste, animé par la haine de soi ou par le goût de la trahison.
De Jean-Luc Mélenchon à Éric Drouet, le philosophe dessine une galerie de portraits des « agioteurs de la révolte » qui se veulent les « amis du peuple ».
Au lendemain des européennes, le philosophe se réjouit que le recul significatif de l'abstention ait brisé l'élan de la vague brune, mais la bataille ne fait que commencer.
Le philosophe, auteur de « Looking for Europe », dit son enthousiasme pour « Architecture » – et ses enjeux actuels –, qui a ouvert le Festival d'Avignon.
Le philosophe s'insurge contre tous les « profiteurs » politiques et religieux du virus et refuse de céder à leur prêchi-prêcha moralisateur.
Entre la fanfare rouge-brune qui voit le virus comme un promoteur de ses névroses et les tenants d’une réglementation liberticide, il reste peu de place au langage de la raison.
Réseaux sociaux officiels