Bernard-Henri Lévy recommande de lire d’urgence « Littérature et politique », le dernier livre de Philippe Sollers aux éditions Flammarion.
Le philosophe publie la somme de ses œuvres, textes, conférences et entretiens. L'occasion de vérifier que, s'il s'aime beaucoup, il est un homme de conviction.
Dans « Sur la route des hommes sans nom » BHL revient sur ses huit reportages pour « Paris Match ». L’occasion d’une réflexion sur sa « drôle de vie ». Enquête sur un phénomène français qui fascine encore plus qu’il exaspère.
Si Cuba a attiré bon nombre d’intellectuels français, BHL n’a pas versé dans l’illusion lyrique du socialisme tropical, et a apporté son soutien aux dissidents cubains.
Dans le cadre du séminaire annuel de l’Institut d’études lévinassiennes, à Jérusalem, dont il est l’un des membres fondateurs avec Alain Finkielkraut et Benny Lévy, Bernard-Henri Lévy a évoqué sa lecture croisée de Levinas et Rosenzweig.
Lors de sa « Grande Conférence » pour l’Institut d’études lévinassiennes, prononcée le 9 avril 2008, à la Cité des Récollets, à Paris, Bernard-Henri Lévy répond aux mots de Benny Lévy : « il y a un avenir même pour le Mal ».
En 2003, l'Institut d'études lévinassiennes organise, à Jérusalem, une série de séminaires sur le thème suivant : « la pensée du Retour ». À cette occasion Bernard-Henri Lévy, membre fondateur de l'Institut, donne une conférence durant laquelle il répond à la question : « comment je suis juif ? »
Le 5 mars 2008, au 92nd Street Y de New-York, Bernard-Henri Lévy prononce la prestigieuse conférence annuelle sur « L’état du monde juif ». Le philosophe évoque ici l’histoire et le destin d’Israël, ses valeurs, sa force et ses travers, mais aussi le néo-antisémitisme qu’il propose de démasquer.
Applaudir, bien sûr, la révolution égyptienne, cet « Événement » dirait Clavel. Mais aussi poser des questions lucides et avisées.
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