On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
D’Alger à Sarajevo en passant par Kigali le monde est-il en train d’accoucher d’une tragédie nouvelle ? C’est la conviction de BHL qui refuse de distinguer entre l’intégrisme des autres et le populisme hexagonal. L’auteur de « La pureté dangereuse » ne résiste d’ailleurs pas à la tentation de jeter quelques pavés dans le débat des présidentielles.
Un essai lyrique, pédagogue et prophétique qui montre comment combattre avec les mots face aux idéologies, ne pas transiger et s’en tenir à l’universalisme.
Dans son dernier essai, BHL s’attaque à la pensée simpliste des bateleurs, et définit l’intellectuel de demain, un intellectuel « du troisième type ».
Dans son « Éloge des intellectuels », Bernard-Henri Lévy énumère les les causes du déclin des intellectuels.
La pensée a-t-elle besoin d’être sauvée ? À quoi sert un intellectuel ? Que signifie « l’Universel » ? La politique est-elle un piège pour l’écrivain ?
Bernard-Henri Lévy redécouvre que les intellectuels sont faits pour cette chose toute simple, bête comme tout : penser.
La crise molle que traverse l’intelligentsia, son discrédit, sa disqualification sourde, sont-elles le prélude à sa disparition ?
Dans son dernier livre, Bernard-Henri Lévy se pose la question de savoir si les intellectuels sont coupables. Et si oui, de quoi ?
Le philosophe écrivain se réinvente commissaire d’expo pour la Fondation Maeght.
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