Manifeste philosophique, écrit dans une langue belle et limpide, ce livre entend poser les bases d'un pessimisme historique de type nouveau. Convoquant auprès de lui les leçons de l'histoire récente, les enseignements du plus lointain passé, des références littéraires autant que métaphysiques, il peut se lire comme une véritable « archéologie du temps présent ».
Avec « Le Diable en tête », BHL signe un beau livre, un premier roman brillant et foisonnant, un roman miroir de notre époque.
Avec son roman sur Baudelaire, BHL a choisi une structure romanesque pour exprimer ses idées, ce qui est un hommage à la littérature.
Le trajet de Bernard-Henri Lévy, qui va de « La Barbarie à visage humain » au « Testament de Dieu », est logique. Il est écrit dans le plus beau français qui soit.
En ouverture du colloque « Le visage, la rencontre de l'autre » organisé par le CRIF, le CRAN et le Collège des Bernardins, BHL interroge la querelle fraternelle, le différend, entre le judaïsme et les Églises chrétiennes et, singulièrement, le catholicisme.
Il nous reste quatre jours pour convaincre nos proches de voter en masse, sans état d’âme, pour Jacques Chirac, contre Le Pen.
Dans son nouvel essai l’auteur de « La Barbarie à visage humain » s’immerge dans le siècle et témoigne brillamment sur les figures illustres de la pensée française.
Depuis 1977, date de la parution de « La Barbarie à visage humain », quand BHL publie, il reçoit des giclées de venin. Catherine Clément le sait mieux que personne, car en I977, elle fut la première à le canarder dans « Le Matin de Paris », tant il l'exaspérait.
Selon BHL il faut« réactiver la Bible », le seul texte « qui tienne debout dans la crise des idéologies », contre « la barbarie à visage humain ».
Après avoir, dans la première partie de cet entretien traité du « malaise d’époque », (« Le Monde » du 4 janvier 1978), Bernard-Henri Lévy, auteur de « La Barbarie à visage humain », parle ici du « destin de l’intelligence ».
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