Sakineh ne sera pas lapidée. Mais elle risque ce que l’on appelle pudiquement, en Iran, une peine de substitution, soit la pendaison.
L’écrivain Bernard-Henri Lévy remonte le cours de l’existence de l’Iranienne, condamnée à la lapidation pour adultère.
Je crois qu’il faut défendre cette femme à la fois pour elle-même, et pour ce que, désormais, sans l’avoir voulu, elle représente.
L’Iran a fait de Sakineh l’enjeu d’une bataille qui dépasse sa personne. Elle est un symbole. Nous devons, sans délai, gagner cette bataille du symbole.
Sajjad, le fils de Sakineh qui se bat pour voir reconnue l’innocence de sa mère et lui éviter la mort par lapidation, a été arrêté.
Cette façon de jouer avec le destin d’une innocente et avec les nerfs de sa famille, ne peut avoir qu’un effet : intensifier l’élan de mobilisation.
Sakineh est devenue, à son corps défendant, un symbole. Retour sur la manifestation de soutien à Paris : un moment d’émotion extraordinaire.
Le philosophe donne des nouvelles de Sakineh, placée au secret, sans lien avec le monde extérieur, mais toujours menacée de lapidation.
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