Le philosophe s’appuie sur Adorno, Sartre et Foucault pour dénoncer l’assignation identitaire issue de la « cancel culture » et des mouvements « woke ».
Le philosophe publie un nouvel essai, ce mercredi, sur la « Solitude d’Israël » dans sa guerre contre le Hamas. C’est, à ses yeux, bien plus que la survie de l’État hébreu qui se joue dans ce conflit au Proche-Orient. Mais – comme en Ukraine – une « guerre de civilisation » entre le monde libre et la tyrannie.
On disait le 46e président des États-Unis à bout de souffle. Il a pourtant retrouvé les accents d’un Roosevelt pour prendre la tête du monde libre.
Que sont devenus les derniers défenseurs de Marioupol ? Et Julia Paevska, tombée aux mains des Russes ? L’esprit de Munich, lui, se porte bien…
Faut-il « négocier » avec Poutine ? Au Congrès, à Washington, c’est l’une des questions que pose le philosophe à ses interlocuteurs américains.
De « La Société hystérisée » aux « Souvenirs de ma vie d’hôtel », le philosophe pioche dans sa bibliothèque sept ouvrages marquants de l’année écoulée.
Présentant outre-Atlantique son film «Une autre idée du monde» («The Will to See»), le philosophe nous envoie ses impressions d’Amérique.
Vingt ans après ses propositions sur la reconstruction de l’Afghanistan, libéré des talibans, le philosophe dit son profond accablement.
Vingt ans après la conférence de Durban, le philosophe souligne pourquoi sa commémoration serait une infamie. Et appelle à son boycott.
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