Bernard-Henri Lévy a été reçu au Vatican, pour préparer le 50e anniversaire de l’encyclique « Nostra Aetate ». Le pape François lui a fait forte impression.
Le philosophe salue l’appel du pape à mettre fin au « naufrage de civilisation ». Et en tire trois enseignements sur la « crise des migrants ».
Sartre égotiste, donc stendhalien, en Pléiade. Patrick Roegiers fait le roman de la rencontre de Proust et Joyce au Ritz. Hommage à François Baudot.
À l’occasion de la sortie de son livre « Sur la route des hommes sans nom », le philosophe se confie sur ses modèles littéraires. Il critique l’obsession sanitaire qui a braqué les yeux de nos démocraties sur le Covid au détriment des véritables guerres.
De la loi sécurité globale au conspirationnisme, l’actualité de la semaine éclairée par l’analyse de notre chroniqueur-philosophe.
Comment un intellectuel, racontant la tragédie de la guerre et la comédie du pouvoir, fait en réalité un voyage au bout de lui-même.
Pour la Bosnie, Bernard-Henri Lévy a bataillé sur tous les fronts possibles. « Le Lys et la cendre » rassemble les notes prises entre 1992 et 1995 sur ce combat. Tout y est, la guerre et la comédie de Paris. Avec, en filigrane, un passionnant autoportrait.
Il est des tornades blanches qui, d’année en année, produisent le même attrait. Bernard-Henri Lévy est de celles-là. Dès que son nom est proclamé, la cohorte de ses lecteurs – et ils sont nombreux – se précipite à sa rencontre.
Il faut lire le superbe essai que Philippe Muray consacre au plus grand et au plus actuel historien du XXe siècle : Louis-Ferdinand Céline.
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