Résultats pour « Unesco »

Unesco, après la victoire

Bernard-Henri Lévy, Slate, 22 septembre 2009

Pourquoi l’élection d’Irina Bokova à la tête de l’Unesco, face à Farouk Hosni, est une victoire de la morale sur le calcul politique ?

Unesco : la honte d’un naufrage annoncé

Bernard-Henri Lévy, Le Monde, 21 mai 2009

Farouk Hosni n’est pas digne du rôle de directeur de l’Unesco, il est le contraire d’un homme de paix, de dialogue et de culture.

L’Unesco sera-t-il fidèle à ses valeurs ?

Bernard-Henri Lévy, Le Monde, 21 septembre 2009

L’élection du directeur général de l’Unesco est entrée dans sa phase ultime. La désignation de Farouk Hosni semble plus difficile que prévu.

Unesco, suite et fin. Lire Simone Harari. Les bonnes surprises du service public

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 01 octobre 2009

Le mauvais esprit de Farouk Hosni. Les fonctions de la télévision selon Simone Halberstadt Harari. Culture et Audimat : où en est-on ?

Ne laissons pas l’Unesco à un flic de la culture

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 10 septembre 2009

Va-t-on confier les rênes de l’agence culturelle mondiale à Farouk Hosni qui, lorsqu’il entend le mot culture, sort ses ciseaux ou son briquet ?

Laissera-t-on l’Unesco à un homme qui, lorsqu’il entend le mot culture…?

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 04 juin 2009

La rhétorique médiocre de Farouk Hosni n’est digne ni de la patrie de Naguib Mahfouz – ni d’un monde sommé de conjurer le spectre du clash des civilisations et des cultures.

L’Unesco et les juifs : ignominie

Bernard-Henri Lévy, Le Point, 23 janvier 2014

De quoi l'annulation de l'exposition sur la relation du peuple juif à la Terre Sainte, programmée par l'Unesco à Paris, est-elle le symptôme ?

L’intellectuel

Antoine de Gaudemar, Libération, 25 avril 1987

Les intellectuels se meurent ? Le mot « engagement », est-il encore dans le dictionnaire des idées ? Lévy et Finkielkraut en plein désarroi.

Signes favorables

Alain Besançon, L’Express, 27 mars 1987

Les livres de BHL, Finkielkraut, Bloom, Henry, annoncent peut-être le printemps de notre culture. La critique d’Alain Besançon.