Retour sur l’étrange aventure que vient de vivre Jean-Baptiste Descroix-Vernier, après un « lâcher de billets » en plein Paris.
BHL a lu « L’Hitler iranien » d’Amir Jahanchahi, un livre utile, et la BD « Ben Laden dévoilé ». Farouk Hosni sera-t-il élu à l’Unesco ?
Après le terrible spectacle de Durban I, Durban II, qui doit évaluer les « progrès » en matière de lutte contre le racisme, laisse présager le pire.
Au Caire, Bernard-Henri Lévy a rencontré les activistes du soulèvement, des intellectuels, des femmes, des blogueurs. Paroles délivrées entre espoir et joie.
Bernard-Henri Lévy évoque le déshonneur de l’Unesco et la gifle de l’ONU à toutes les femmes de la planète.
Qui aura l’audace et l’imagination nécessaires pour mettre l’ONU au diapason d’un monde qui n’est plus celui ni de 1945 ni de la guerre froide.
Peut-on être américanophile, aimer Dos Passos, Spielberg et Pollock, tout en défendant l’exception culturelle française ?
Lors de son discours à l’Université hébraïque de Jérusalem, Bernard-Henri Lévy démontre l’importance de la contribution de Malraux à la pensée moderne de l’être-juif, en explorant son œuvre, son rapport à Israël.
À la New York University, en septembre 2005, BHL intervient lors du colloque organisé par le Center for French civilization and culture. Il aborde « la question du rapport de Sartre aux juifs, à la question juive, au nom juif, au nom de juif ».
En 2005, lors du Colloque de Cerisy qui portait sur « Jean-Paul Sartre : écriture et engagement », Bernard-Henri Lévy développe sa thèse du premier et du second Sartre pour répondre à la question suivante : comment le même homme a-t-il pu écrire ceci et cela ?
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