Le philosophe, partisan de l'avènement d'un État palestinien viable, s'oppose à la demande d'une reconnaissance unilatérale.
Face à la guerre que nous livrent les nazislamistes, trois prises de position incongrues résument le déni quasi général des enjeux de la menace.
Bernard-Henry Lévy, à travers ses souvenirs de leurs rencontres, rend hommage à l'écrivain érudit, « réserve presque infinie d'intelligence ».
Faut-il que l'époque soit folle, pour que cette affaire de retrait du triple A de la France ait pris une telle ampleur ?
Ben Laden, pire tueur de l'histoire contemporaine, est mort. Il laisse derrière lui un Pakistan nucléarisé, djihadisé, donc hautement dangereux.
Réponse, et mise au point, de Bernard-Henri Lévy à Marine Le Pen, sur la guerre en Libye.
En 2014, selon Bernard-Henri Lévy, l'Ukraine et sa révolution ont dominé l'actualité. Reste à transformer l'essai pour que 2015 soit l'année de sa victoire.
Dénonciation de la curée, de l'hallali qui, par un effet de meute, rend justice sans scrupule. Le philosophe défend ici un principe.
Ou en sommes-nous, huit après l'élaboration, par des personnalités des deux sociétés civiles palestinienne et israélienne, de l'Accord de Genève ?
La peine de mort n'est pas une peine, c'est un crime. La peine de mort n'est pas un acte de justice, c'est un acte de barbarie.
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