Récit du combat de BHL, dans Sarajevo assiégée, pour la Bosnie-Herzégovine et contre l'agression de la Serbie dans les années 90.
Au plus fort de la guerre qui fait rage en Bosnie, alors que Sarajevo est assiégée, BHL permet au Président bosniaque de plaider sa cause en Europe, notamment au Vatican, auprès du Pape Jean-Paul II.
Sarajevo annonce nommer l’écrivain philosophe français Bernard-Henri Lévy, citoyen d’honneur de la ville pour avoir témoigné des souffrances du peuple bosnien pendant la guerre qui fit rage entre 1992 et 1995 : « S’il y avait quelqu’un qui parlait à l’époque de la vraie situation en Bosnie, c’était lui. »
En 1993, Bernard-Henri Lévy est le témoin de la rencontre entre le président français François Mitterrand et Alija Izetbegovic, le président bosniaque, qui a lieu grâce à lui. L’écrivain s’est engagé corps et âme auprès des bosniaques lors de la guerre qui opposa ces derniers à la Serbie de 1992 à 1995.
Défense par Bernard-Henri Lévy des « damnés de la guerre », les sans nom et sans visage, victimes des « guerres oubliées ».
Cette période est marquée par l'engagement fort de BHL pour la Bosnie d'Izetbegovic puis la réalisation d'un film de fiction.
Ils se sont rencontrés une première fois en 1969. Puis leurs chemins se sont croisés à plusieurs reprises. Récit d'un long compagnonnage.
À l'exemple de Jacques Chirac pour la Bosnie en 1995, le philosophe plaide pour la création d'un corps d'armée européen pour secourir les Kurdes de Syrie.
Au cours de l'année 2001, BHL est allé observer de près, cinq « guerres oubliées » : au Burundi, en Angola, au Soudan, au Sri-Lanka, en Colombie. Il a vu, au quotidien, ces « guerres de spectres », dont l'issue est indifférente au reste du monde, et qui n'en continuent pas moins de tuer par milliers, par centaines de milliers.
Écrivain et philosophe, Bernard-Henri Lévy est également romancier, cinéaste et dramaturge. Il est l’auteur de 47 livres.
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