Cohn-Bendit est un vrai politique. Un vrai Européen. Il est par la force des choses le prototype de cet « homme politique européen ».
Encore le silence des intellectuels. Le pape et les Juifs. Wittgenstein et l’Algérie. Le retour de « Bonnie and Clyde ». Badiou sur Deleuze. Réponse à Jean Daniel.
Gauche moderne ou populisme ? Pragmatisme ou pureté dangereuse sur fond d’idéologie française ? Nous en sommes là.
Ces cérémonies autour du soixantième anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, c’est le signe que la bataille de la mémoire est gagnée.
Que la mémoire morte devienne une mémoire vive est bon. Mais pour que l’idée soit vraiment belle, il eût fallu la plier à quelques conditions.
Le philosophe se sent pris en étau entre le retour d’une extrême droite révisionniste et une ultragauche qui confond la colère légitime et la haine.
La revue « La Règle du jeu », dirigée par Bernard-Henri Lévy, célèbrait ses vingt ans au café de Flore à Paris mardi 30 novembre. Catherine Schwaab, rédactrice en chef à « Paris Match », raconte cette mémorable nuit à Saint-Germain-des-Près.
A Prague, Bernard-Henri Levy a joué sa pièce « Looking for Europe », qu’il a écrite et interprète seul en scène, dans le cadre d’une tournée de deux mois et demi à travers une vingtaine de capitales. Une création « de combat », dit-il, qui lui permet aussi d’être comédien de sa propre histoire.
Dans le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne, le 17 février 2008, Bernard-Henri Lévy évoque la pensée d’Edmond Fleg, « intellectuel qui naît, qui grandit, qui s’inscrit, dans un monde très spécial qui s’appelle le franco-judaïsme. »
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