Félix Le Roy a retrouvé, dans les archives de BHL, dans son œuvre, quelques uns des textes qu’il a consacrés à son ami-écrivain Philippe Sollers.
André Thirion, dernier témoin de l’aventure surréaliste. La pratique de l’écart de Jacques Laurent. « Selon Matthieu » de Xavier Beauvois.
Péguy, Benda et Bové. La métaphore selon Valéry. Pour une paix sèche. Raffarin à Saint-Pétersbourg. Paul Guilbert, un an après. Parcours de Hervé Bourges. Berlusconi, quelle honte ! L’honneur des journalistes.
Lire Malraux a-t-il encore un sens ? Si Malraux vivait encore, que dirait-il de notre époque ? Était-il un bon critique d’art et de littérature ?
Louis Althusser fut, à l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm, le professeur et maître de BHL, où il l’initie à la philosophie.
Philippe Sollers, compagnon intellectuel et littéraire de BHL, voit dans son œuvre « la meilleure prose politique d’aujourd’hui ».
Si Jean-Paul Enthoven et BHL, amis à la ville, se lisent, ils ont également rédigé des textes consacrés l’un à l’autre.
Beaucoup de choses rapprochent BHL d’Albert Camus. La morale, l’engagement, le journalisme, l’antitotalitarisme, peut-être l’Algérie.
BHL a scruté à plusieurs reprises la figure trouble de Drieu la Rochelle, symbole d’un funeste fascisme français.
Si BHL s’est opposé aux positions de Genet sur le terrorisme palestinien, il s’est néanmoins intéressé à la vie de l’écrivain à Tanger.
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