L’écrivain s’est rendu à Marseille pour parler de son livre sur les intellectuels français, leurs erreurs et leurs passions.
Il est des tornades blanches qui, d’année en année, produisent le même attrait. Bernard-Henri Lévy est de celles-là. Dès que son nom est proclamé, la cohorte de ses lecteurs – et ils sont nombreux – se précipite à sa rencontre.
BHL évoque le destins des Kurdes, des Israéliens et des Palestiniens, les problèmes qu’ils rencontrent, les solutions qu’ils pourraient trouver.
La fascination de Bernard-Henri Lévy pour la gent intellectuelle, pour, plutôt, l’intelligentsia, se double d’une passion pour la littérature et les livres. Et cette passion lui fait regretter le temps volé aux écrivains politiques.
BHL dresse un catalogue des erreurs dont les intellectuels se sont rendus coupables pendant le XXe siècle.
Ceux qu’on appelle les « intellectuels » se retrouvent souvent déchirés face aux grands bouleversements de notre histoire. Voici ce que raconte, après quatre ans d’enquête, l’un de nos plus célèbres romanciers-essayistes en quatre émissions-événements.
L’intellectuel a deux caractéristiques principales, comme deux taches de naissance. Prophète, il nous montre la voie du paradis. Juge, il dénonce l’enfer des autres.
Le fil conducteur du dernier essai de BHL se trouve dans l’amour pour la complexité, l’éloge du double, du multiple.
Les intellectuels sont-ils une espèce en voie de disparition ? Bernard-Henri Lévy répond à Catherine Nay, et évoque ses « Aventures de la liberté ».
Déjà maître d’œuvre, pour Téléimages, de « sitcoms » et d’un long-métrage, Simone Harari a produit le film de Bernard-Henri Lévy.
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