Au regard de l’histoire du Royaume-Uni, l’auteur-acteur de « Looking for Europe » interroge une nouvelle fois le choix des Britanniques de quitter l’UE.
Le philosophe s’interroge sur ce qui fait le prix de la paix – sa beauté et sa rareté – alors que les maîtres du monde se jouent de ce bien inestimable.
Ils se sont rencontrés une première fois en 1969. Puis leurs chemins se sont croisés à plusieurs reprises. Récit d'un long compagnonnage.
Alors que 70 happy few soutiennent l'écrivain Pascal Bacqué, le philosophe rappelle l'obligation esthétique, éthique, voire politique de protéger les poètes.
Le cinéaste de « Bosna ! » a vu le film que Guillaume de Fontenay consacre au reporter de guerre Paul Marchand – qu'il a croisé jadis dans Sarajevo assiégée.
Le penseur alerte sur le massacre de chrétiens au Nigeria. Aussitôt, des « spécialistes » polémiquent. D’un côté, les atrocités, de l’autre, les arguties.
Le Brexit est une défaite pour le Royaume-Uni comme pour l'Union européenne. Mais tout espoir n'est pas perdu de retrouver le vrai goût de l'Europe.
Il faut s’inquiéter de l’activisme russe dans la campagne électorale, affirme le philosophe – qui participait, à Yale, à un symposium sur la question kurde.
Et si ce confinement forcé, édicté par nos valeureux hussards blancs, se poursuivait au nom d'un hygiénisme égoïste, comme le craignait Michel Foucault ?
À Venise pour la projection du film « Princesse Europe », le philosophe n’en oublie pas l’empoisonnement du Russe Navalny ni la situation en Biélorussie.
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