Bernard-Henri Lévy décrit la façon dont il a conçu son accrochage pour briser les idées reçues sur l’idolâtrie et l’iconoclastie.
Bernard-Henri Lévy déplore la décision américaine de retirer ses troupes d’Afghanistan. Le philosophe et écrivain estime qu’elle signe « notre lâcheté, pas notre impuissance ».
La crise sanitaire éclipse l’actualité des conflits dans le monde. BHL, invite à regarder en face ces crises humaines. Et à ne pas les oublier.
Avec son coup de gueule théâtral, BHL revient aux sources de l’idée européenne, interroge les mythes et les penseurs.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Avant Littell et Carrère, il y eut BHL, qui aura rendu compte des guerres « oubliées », passant plus de trente ans à se rendre sur le terrain.
En exclusivité pour « Madame Figaro », Bernard-Henri Lévy parle de son documentaire « Le Serment de Tobrouk » et revient sur son équipée libyenne, en 2011
Un film à sa propre gloire ? Bien sûr. Mais qui pose la seule vraie question : fallait-il, en mars 2011, laisser massacrer les insurgés libyens ?
Le documentaire sur la chute de Kadhafi reste encore à faire. Celui sur BHL, par contre, est fait. Et le bon docu est bien là !
« Peshmerga », c’est le cinéma de guerre au temps des drones et des Go-pro. Et pour leçon : à la fin de Daech, dans l’après-Assad qui tôt ou tard adviendra, il faudra bâtir un Kurdistan unifié, indépendant et démocratique.
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