Bernard-Henri Lévy a vu les images désastreuses des casseurs du Trocadéro, où les joueurs du PSG devaient célébrer leur victoire.
Il existe, aujourd'hui, un nouveau Benghazi : Homs, capitale syrienne de la douleur où l'on cible les journalistes et massacre les civils.
La diabolisation de Allemagne, le ton des attaques germanophobes formulées contre sa chancelière, troublent le philosophe et éveillent sa mémoire.
Le philosophe évoque ses lectures : « François Mitterrand » de Jack Lang, « Tout Paris » de Bertrand de Saint Vincent, « Choix d'Arte » de Jérôme Clément.
Face à la guerre que nous livrent les nazislamistes, trois prises de position incongrues résument le déni quasi général des enjeux de la menace.
Bernard-Henry Lévy, à travers ses souvenirs de leurs rencontres, rend hommage à l'écrivain érudit, « réserve presque infinie d'intelligence ».
Hommage à ceux qui n'ont pas désespéré de ce pari, qui semblait insensé à beaucoup, sur la simple liberté des hommes en Libye.
Le livre de Blandine Barret-Kriegel est un livre important qui résonne, en bien des points, avec notre conjoncture idéologique et politique.
À l'heure où l'on se réjouit de voir des otages des islamistes d'Aqmi enfin libérés, l'indécente paranoïa de Mme. Le Pen révèle son vrai visage.
En 2014, selon Bernard-Henri Lévy, l'Ukraine et sa révolution ont dominé l'actualité. Reste à transformer l'essai pour que 2015 soit l'année de sa victoire.
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