Le philosophe tire trois leçons majeures du meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi. Et rappelle ses préventions de naguère à l’égard du jeune MBS.
Après les frappes en Syrie, le philosophe passe en revue les critiques de tous ceux qui ont émis des réserves sur l'intervention franco-anglo-américaine.
Réflexions et lectures : Macron et le péril Trump, Philippe Val et Claude Askolovitch, Conrad et Arendt. Et pour conclure, Sonia Mabrouk.
Pour le philosophe, si Barack Obama a parfois « déçu », il n'a pas « failli ». Le Président américain a changé le visage de l'Amérique.
Dans une campagne dominée par les affaires et les punchlines, vidée de son contenu, les grimaces de la vertu remplacent la grandeur de la « virtù ».
Le mal qui peut causer la désinformation, ou la rumeur d'une information erronée lorsqu'elle prend une ampleur planétaire.
La guerre qui nous frappe se gagnera en Irak et en Syrie. Encore faut-il que la première puissance mondiale prenne conscience de l'enjeu.
À l'ENS, une campagne pour le boycott d'Israël est, pour le philosophe, mensongère, belliqueuse, antidémocratique et parfaitement infâme.
Sur la bande de Gaza, avec le Hamas qui accentue ses tirs de roquettes, c'est une haine nue qui prévaut, sans mots ni enjeux négociables.
L'accord américano-russe sur le Syrie, la diplomatie d'Opinion, et le soulagement à l'idée de ne pas affronter Bachar, rappellent de détestables souvenirs.
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