Le désir que l’on sent à l’œuvre dans cette phase de l’interminable et nauséeux feuilleton Strauss-Kahn est un désir de meurtre symbolique.
Aujourd’hui, il faut dire : union politique ou barbarie. Mieux : fédéralisme ou éclatement, régression sociale, précarité, explosion du chômage, misère.
Pourquoi cette affaire d’investissement du Qatar dans les banlieues françaises est-elle, en l’état actuel des choses, si problématique ?
Nos démocraties doivent appuyer une victoire totale de l’Ukraine pour mériter, de Téhéran à Taïwan, la confiance des peuples entrés en résistance.
Pour que l’Ukraine gagne la guerre, pour l’Amérique des libertés, pour les Ouïghours, pour les femmes afghanes et iraniennes, pour les Kurdes…
Petitesse et misère du Média, la webtélé des Insoumis, qui entre Politburo et désinformation s’est vite avéré digne de « Russia Today » ou du Café du commerce.
D’un côté, le cynisme du Turc Erdogan. De l’autre, les lâchetés, le silence de l’Occident. Pris dans cet étau, les Kurdes vainqueurs de Daech.
Pourquoi, alors qu’il espérait lui aussi la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël, l’écrivain n’arrive pas à se réjouir et s’inquiète.
Alors que Jean-Luc Mélenchon fait des amalgames historiques douteux et dangereux, les Kurdes se rendent aux urnes pour obtenir leur indépendance.
Le référendum sur l’indépendance du Kurdistan d’Irak devrait avoir lieu le 25 septembre. Cette possible indépendance inquiète Bagdad et les États-Unis.
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