Après le « meurtre symbolique » du candidat Benjamin Griveaux, le philosophe rappelle qu’il n’y a pas de société de libres sujets sans droit au secret.
Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Nous voici revenus aux temps anciens, celui d’avant les antibiotiques, celui de la chasse à l’étranger, celui des camps d’enfermement.
Celui qui mena la rébellion contre le colonel Kadhafi s’était juré de parvenir à pacifier la Libye. Le Covid-19 l’a emporté le 5 avril, à 67 ans.
Le philosophe s'insurge contre tous les « profiteurs » politiques et religieux du virus et refuse de céder à leur prêchi-prêcha moralisateur.
Au temps du Covid-19, note le philosophe avec une ironie amère, nous restons aveugles et sourds aux péripéties cauchemardesques de l’Histoire en marche.
La Chine est à l’offensive. Mais, explique l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », sa volonté impériale n’a pas (encore) de légitimité à l’universel.
Covid, confinement, Hulot, Onfray, Macron… Le philosophe, qui publie « Ce virus qui rend fou », dresse un état des lieux alarmant de la France.
Parrain, jadis, de SOS Racisme, le philosophe adresse une mise en garde en cinq points à ceux qui aujourd'hui demandent justice pour Floyd ou Traoré.
Le philosophe salue la naissance d’un écrivain qui, à 22 ans, publie son premier roman, « Ciel et terre », « portrait d’un chevalier à la triste figure ».
Réseaux sociaux officiels