Le 17 août 1971 le jeune BHL donnait son premier texte à « Combat », le journal de Camus alors dirigé par Philippe Tesson, et s’engageait pour les révolutionnaires de l’Irlande du Nord.
Dans le Haut-Karabakh, l’Azerbaïdjan, soutenu par Erdogan, opère contre l’enclave arménienne un blocus qui s’apparente à un nettoyage ethnique.
Les fanatiques qui ont assassiné à Benghazi l’ambassadeur américain en Libye, Christopher Stevens, ne sont pas seulement des criminels, ce sont des imbéciles, selon le philosophe.
BHL prend le contre-pied de « ceux qui, comme Claude Lanzmann, trouvent le temps long et tournent casaque » sur le dossier libyen.
Il faut être vigilant en Libye. Mais que ce devoir de lucidité serve d’alibi à un esprit de Munich revisité, voilà qui n’est pas acceptable.
La révolution libyenne vivra-t-elle sous la menace d’un fou qui n’a plus rien à perdre et qui, tôt ou tard, fera tout pour engloutir la Libye avec lui ?
Au Caire, Bernard-Henri Lévy a rencontré les activistes du soulèvement, des intellectuels, des femmes, des blogueurs. Paroles délivrées entre espoir et joie.
Le philosophe se souvient des grands moments, du Maïdan à la rencontre avec Porochenko, qui lui ont fait embrasser la cause de ce pays.
BHL revient sur le parcours de celui avec lequel il a partagé l’étiquette de « Nouveau philosophe », sur leurs combats communs et leurs divergences.
Le philosophe Bernard-Henri Lévy a été l’ami du créateur de « Belle du Seigneur », à la fin des années 70 et au tournant des années 80. Récit d’une complicité et témoignage d’une admiration.
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