Le philosophe, qui a connu Romain Gary, s’enchante d’une nouvelle biographie (Gallimard), celle que Kerwin Spire consacre à l’écrivain.
Vingt ans après ses propositions sur la reconstruction de l’Afghanistan, libéré des talibans, le philosophe dit son profond accablement.
Dans « À vrai dire » (Cerf), l’académicien répond à Paul-François Paoli, journaliste au « Figaro ». Une libre conversation. Presque des Mémoires.
Vingt ans après la conférence de Durban, le philosophe souligne pourquoi sa commémoration serait une infamie. Et appelle à son boycott.
Après l’abandon du peuple afghan par les États-Unis, le seul espoir qui demeure a pour nom Ahmad Massoud, fils du commandant Massoud.
Avec le désastre afghan, c’est l’image même des démocraties libérales qui, à travers la plus grande d’entre elles, semble partout ternie.
Comment de courageux vétérans de l’armée américaine ont exfiltré de Kaboul leurs compagnons d’armes afghans, au nez et à la barbe des talibans.
Après la réapparition de 6 000 pages inédites de Céline, le philosophe interroge la postérité aléatoire des œuvres sous l’angle des ayants droit.
Webinar: Past as Prologue, revisiting Bernard-Henri Lévy’s 2002 Report on Afghanistan July 26, 2021 (10:00 am – 11:00 am) In...
Les rapports entre Bernard-Henri Lévy et Jean-Pierre Chevènement ont toujours été exécrables. Cela a commencé, en 1981, dans un article...
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