BHL joue le jeu des vrais romanciers, au corps à corps avec les réalités. Il s’essaie même à des styles différents.
Le romancier Bernard-Henri Lévy ne mérite ni l’excès d’honneur des uns ni celui d’indignité des autres. Au total, un premier roman de type classique non dénué de qualités.
« Le Diable en tête » est un roman passionnant qui embrasse, à travers le portrait d’un terroriste, toute la légende, sombre, voluptueuse et cruelle, du siècle.
« Le Diable en tête » nous restera comme le roman de l’éducation intellectuelle et sentimentale, des illusions perdues, d’une génération.
« Le Diable en tête », premier roman de BHL, n’est que la continuation par d’autres moyens de ses livres précédents.
C’est un bout de siècle que BHL, en très honnête romancier, campe bien, et de façon très vivante, avec son « Diable en tête ».
Archange des nouveaux philosophes et militant des droits de l’homme, BHL a succombé, lui aussi, à la tentation romanesque. François Nourissier découvre un jeune auteur...
Le philosophe, qui soutient depuis dix ans la cause de l’Ukraine, où il a tourné trois reportage de guerre, explique pourquoi il a accepté d’être distingué par l’ambassadeur en France.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
Le philosophe a présenté son film « L’Ukraine au cœur » au Congrès, à Washington, au moment où les élus américains doivent se prononcer sur une nouvelle aide pour l’Ukraine.
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