Avec « Le Diable en tête », BHL signe un beau livre, un premier roman brillant et foisonnant, un roman miroir de notre époque.
Le « must » de la rentrée : le premier roman de BHL, « Le Diable en tête ». Un coup d’essai et un coup de maître.
Du siège des Nations unies à Washington et Los Angeles, le philosophe et reporter de guerre montre son dernier film pour que l’on n’oublie pas l’Ukraine.
Un « nouveau philosophe » passe au roman. Une fascinante fresque qui brasse quarante années de tumultes et où le diable gagne sur tous les tableaux.
Et si BHL, le maître médiatique de la Nouvelle philosophie, était tout simplement un romancier des plus traditionnels ?
À 36 ans, Bernard-Henri Lévy, chef de file des « nouveaux philosophes », publie son premier roman. Jacques Chessex a lu « Le Diable en tête » comme on regarde le film de notre époque.
En menant la première enquête sur la mort de Daniel Pearl, BHL affronte la question de l’islamisme et rend hommage au travail des journalistes.
Baroudeur du Pakistan à Londres, Bernard-Henri Lévy signe un « romanquête » sur les traces d’Al-Qaïda.
Bernard-Henri Lévy publie un « romanquête » sur le journaliste américain Daniel Pearl enlevé et exécuté au Pakistan.
Bernard-Henri Lévy a repris ses carnets de bourlingueur et de... redresseur de torts. Sa « romanquête » fait un tabac. L’assassin du journaliste Daniel Pearl sert de cadre à une mise en garde terrifiante contre les dangers que l’islamisme pakistanais ferait courir au monde.
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