Bernard-Henri Lévy, n’est-il pas en train de nous faire lire un faux ? Alors, « Comédie », portrait du joueur ou comédie de la vérité ?
Le philosophe appelle à un « élan clémenciste » de tous les républicains pour sortir de la violence « barbare » qui enflamme les cités de France.
BHL débute dans la fiction avec un livre ambitieux qui se veut dans la lignée des grands romans populaires du dix-neuvième siècle.
À la suite de l’article de Poirot-Delpech sur « L’Idéologie française » de BHL, « Le Monde » publie une lettre du philosophe en guise de réponse.
Selon BHL il faut« réactiver la Bible », le seul texte « qui tienne debout dans la crise des idéologies », contre « la barbarie à visage humain ».
Avec le « Testament de Dieu », BHL expose une stratégie de « résistance » et une éthique précise de l’intellectuel, guetteur et solitaire.
Après avoir, dans la première partie de cet entretien traité du « malaise d’époque », (« Le Monde » du 4 janvier 1978), Bernard-Henri Lévy, auteur de « La Barbarie à visage humain », parle ici du « destin de l’intelligence ».
Auteur de « La Barbarie à visage humain », Bernard-Henri Lévy, normalien, agrégé de philosophie, passe à vingt-neuf ans pour le chef de file des courants dits des « nouveaux philosophes ». Il expose ici ses réflexions personnelles sur les rapports entre la morale et l’histoire.
Bernard-Henri Lévy n’est pas — pas encore ? – porteur d’une aventure qui le dépasse, d’une passion qui lui donne son poids de vérité. À ce jeune homme en qui certains voient un Malraux en herbe, il manque sans doute une guerre d’Espagne.
Conversation entre l’auteur d’une histoire subjective des intellectuels français du XXe siècle, et le biographe de De Gaulle et Malraux.
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