Honte, dit BHL, aux sportifs turcs qui saluent la soldatesque d’Erdogan ; un maillot n’est pas un uniforme.
Bernard-Henri Lévy présentait le 2 octobre son documentaire « Peshmerga » à New York. Une projection qui a eu lieu dans un climat sécuritaire à haute tension.
Il faut saluer le vote budgétaire américain en faveur de l’Ukraine, d’Israël et de Taïwan. Car c’est d’une nouvelle guerre mondiale qu’il s’agit : celle qui oppose les démocraties à l’Internationale illibérale.
Après l’attaque d’Israël par l’Iran, le philosophe s’élève contre ceux qui recommandent à l’État hébreu la « retenue » et, face à la menace possiblement nucléaire de la République islamique, prône la fermeté et la riposte.
Alors que des coalitions internationales s’étaient formées pour détruire Al-Qaeda puis Daesh, personne, regrette le philosophe, ne vient aider Israël à mener la guerre contre le Hamas.
Le philosophe publie un nouvel essai, ce mercredi, sur la « Solitude d’Israël » dans sa guerre contre le Hamas. C’est, à ses yeux, bien plus que la survie de l’État hébreu qui se joue dans ce conflit au Proche-Orient. Mais – comme en Ukraine – une « guerre de civilisation » entre le monde libre et la tyrannie.
Alors que l’agression russe entre dans sa troisième année, le philosophe, auteur de trois films de soutien à l’Ukraine, rappelle que cette guerre est « notre guerre ».
Au valeureux président américain, celui qui a soutenu l’Ukraine et Israël, aujourd’hui en proie à des défaillances de santé, le philosophe demande de « passer le relais ».
Le philosophe a présenté son film « L’Ukraine au cœur » au Congrès, à Washington, au moment où les élus américains doivent se prononcer sur une nouvelle aide pour l’Ukraine.
Réflexion sur l’état du monde à l’âge des guerres d’Ukraine et de Gaza. Raphaëlle Milone évoque sa lecture de « L’Empire et les cinq rois » de BHL.
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