Après la mise en cause de BHL par Erdogan à propos de la chute du président Morsi, le philosophe met les choses au point.
N’en déplaise à ses nombreux adversaires, son film « Slava Ukraini » donne raison à Bernard-Henri Lévy. Décrié depuis ses premiers livres dans les années 70, BHL est toujours resté fidèle à lui-même, dans ses livres comme sur le terrain, où il est le seul à aller. Portrait du dernier des écrivains engagés.
Le retour de la guerre en Europe a vu le surgissement d’une empathie unanime à l’Ouest pour le peuple ukrainien et ses alliés. Mais cette solidarité inédite peut-elle durer ? À l’occasion de la sortie de « Slava Ukraini » de Bernard-Henri Lévy, enquête sur place...
Il serait logique, pour Barack Obama, d’aller au bout de l’exercice de sagesse qu’il s’est imposé et qu’il a imposé à son homologue français : aller à Saint-Pétersbourg, oui ; mais en bouleversant l’agenda de la réunion.
Un texte fort cosigné avec Woody Allen, Umberto Eco, David Grossman, Amos Oz, Orhan Pamuk, Salman Rushdie et Wole Soyinka.
Kobané va tomber. Il n’y a plus, à l’heure qu’il est, qu’un moyen de sauver ce qui reste de Kobané et ce moyen c’est la Turquie.
Un appel à mettre un terme à la tragédie en Syrie, signé Jacques Bérès, Mario Bettati, André Glucksmann, Bernard Kouchner et BHL.
Selon Bernard-Henri Lévy, les raisons qui ont poussé, hier, à une intervention pour soutenir les insurgés libyens doivent nous amener à soutenir la rébellion syrienne.
Dans son nouveau livre, « La Guerre sans l’aimer », Bernard-Henri Lévy décrit la face cachée de la révolution libyenne, dont il fut un acteur clé. Philippe Tesson, qui le connaît bien et de longue date, salue les engagements de cet intellectuel épris d’action.
Le 17 août 1971 le jeune BHL donnait son premier texte à « Combat », le journal de Camus alors dirigé par Philippe Tesson, et s’engageait pour les révolutionnaires de l’Irlande du Nord.
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