Allocution prononcée par Bernard-Henri Lévy au Mans, le 28 octobre 2001, lors du 13e Forum du journal « Le Monde », qui avait pour thème : « Devoir de mémoire, droit à l’oubli ».
Que la mémoire morte devienne une mémoire vive est bon. Mais pour que l’idée soit vraiment belle, il eût fallu la plier à quelques conditions.
Dans le Grand Amphithéâtre de la Sorbonne, le 17 février 2008, Bernard-Henri Lévy évoque la pensée d’Edmond Fleg, « intellectuel qui naît, qui grandit, qui s’inscrit, dans un monde très spécial qui s’appelle le franco-judaïsme. »
Où il est question de Lautréamont, Nietzsche, Sartre, Heidegger, Joyce, Proust, Céline, Artaud, Kafka, Bataille, de la Chine, du fascisme...
En février 2016, alors que sort « L’Esprit du judaïsme », BHL dialogue autour de la nouvelle question juive avec le fondateur de « L’Obs » à qui l’on doit « La Prison juive ». Un débat historique, philosophique, politique, qui est aussi une dispute métaphysique.
Les défenseurs des droits de l’homme en Bosnie puis, aujourd’hui, au Kosovo font-ils un usage immodéré de la référence au précédent nazi ?
Avoir fermé les yeux sur la persécution des Ouïgours du Xinjiang restera, pour le philosophe, le grand scandale des JO d’hiver de Pékin.
Allocution prononcée à Kiev, à l’occasion de la remise à Viktor Pinchuk, cet « Européen convaincu et conséquent », de la Metropolitan Andrey Sheptytsky Medal of Honor Award.
Lors de son discours à l’Université hébraïque de Jérusalem, Bernard-Henri Lévy démontre l’importance de la contribution de Malraux à la pensée moderne de l’être-juif, en explorant son œuvre, son rapport à Israël.
Dans le cadre du séminaire annuel de l’Institut d’études lévinassiennes, à Jérusalem, dont il est l’un des membres fondateurs avec Alain Finkielkraut et Benny Lévy, Bernard-Henri Lévy a évoqué sa lecture croisée de Levinas et Rosenzweig.
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