Bernard-Henri Lévy prend la défense de la chancelière allemande et dénonce la germanophobie de plusieurs pays européens, dont la France.
Le philosophe a souvent dit, dans ce bloc-notes, l’admiration qu’il porte à la chancelière allemande. Il esquisse aujourd’hui son portrait.
Il faut bloquer l’agression de la Géorgie par la Russie de Medvedev et Poutine, qui est un tournant décisif de l’histoire européenne.
Benazir Bhutto était l’incarnation de l’espoir, de l’esprit et de la volonté de démocratie au Pakistan, et en terre d’islam.
Sur la Syrie, la Libye, Hollande et Sarkozy, le droit d’ingérence mais aussi son « narcissisme » supposé, ses rapports au cinéma et Marine Le Pen qui le poursuit en justice pour diffamation, Bernard-Henri Lévy s’explique.
Si tous deux s’accordent à constater le chaos ambiant, ils tracent deux chemins radicalement différents pour construire la France d’après.
À l’occasion de la sortie de son livre « Sur la route des hommes sans nom », le philosophe se confie sur ses modèles littéraires. Il critique l’obsession sanitaire qui a braqué les yeux de nos démocraties sur le Covid au détriment des véritables guerres.
Tout ou presque oppose Bernard-Henri Lévy et Renaud Girard, sauf la conviction inquiète d’une crise frappant les États-Unis et la vieille Europe.
Il faut placer, au cœur des Élections, ces crimes qui, si nous ne faisons rien, constitueront au Darfour le premier génocide du nouveau siècle.
De quoi l’absence de la France lors d’un sommet européen, qui s’est tenu à Madrid le 26 janvier, est-elle le symptôme, l’aveu ?
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