Le philosophe voit dans le virus mondialisé la traduction en creux des passions tristes qui agitent nos démocraties fatiguées, relativistes et paranoïaques.
Nous voici revenus aux temps anciens, celui d’avant les antibiotiques, celui de la chasse à l’étranger, celui des camps d’enfermement.
Pourquoi l'accord « prosaïque » entre Abou Dhabi et Jérusalem est symboliquement aussi important que le traité de paix entre l'Égypte et Israël en 1979.
Pour contenir la menace d’Erdogan, il faut, pour l’auteur de « L’Empire et les cinq rois », agir sur trois leviers : l’Otan, le Qatar et l’Union européenne.
Oui au soutien à Emmanuel Macron lorsqu'il tient tête à un Erdogan qui attise le terrorisme islamiste. Et non à une justice d'exception dans notre pays.
Face aux délires impérialistes des pyromanes Poutine et Erdogan, notre pays doit trouver le courage de soutenir une minorité attaquée.
Malgré le Covid qui occupe l’actualité, notre chroniqueur nous rappelle combien notre monde ne s’est jamais si mal porté depuis la fin de la guerre froide.
Le philosophe rend hommage au grand éditeur de Grasset & Fasquelle ; le cocréateur de Justice for Kurds espère en Biden ; le citoyen refuse le confinement.
Avec le désastre afghan, c’est l’image même des démocraties libérales qui, à travers la plus grande d’entre elles, semble partout ternie.
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